|
D'autres témoignages
Un témoignage parmi tant d'autres (extrait de : www.geocities.com/TheTropics/6913/lariam.htm ):
" Lesley Gidding had returned from Africa unaware of the reason for her mental and emotional problems. She was still battling deep depression and anxiety attacks: "I described it as my really dark place and I didn't know how to get out. I was just, life was way too bad. I was thinking life is too much, I'd really like, you know, I'm not saying that I had suicidal tendencies but I thought about it (Lesley Gidding)."
Réagissez vous aussi!
France | Joseph | Mesdames, Messieurs,
Sans vouloir contredire vos nombreux témoignages, je vous soumets le mien. J'ai travaillé au Zaïre en 1970 puis de 1979 à 1981, dans une région sous l'équateur où pullulaient toutes sortes de maladies et de risques comme le paludisme, la trypanosomiase, la bilharziose et j'en passe. Moi, malgré tous mes médicaments, je n'ai pu éviter le paludisme. Et depuis mon retour en France en 19881, je subissais des accès palustres à répétition et c'était particulièrement pénible. Au moindre petit courant d'air, je devais m'allonger. Même en pleine chaleur l'été, je ne pouvais ouvrir les vitres de ma voiture à cause des courants d'air. Je faisais crises sur crises de palu presque quotidiennement et c'était pénible, surtout au travail. Je me soignais surtout avec de la nivaquine, plus abordable que le Lariam à 50,00 F la boite de huit comprimés, avant l'Euro. Et la solution et la guérison sont venues de mon fils militaire. Chaque fois qu'il revenait de missions, il me rapportait des centaines de comprimés de Lariam récoltés auprès de ses camarades soldats, qui n'en avaient plus l'usage.
Grâce à cet approvisionnement inespéré, j'ai pris 2 comprimés de lariam par semaine jusqu'à épuisement du stock qui m'a duré plus de trois ans. J'ai toujours fait attention aux nombreuses nuisances potentielles de ce médicament mais je n'ai rien détecté, ni mon médecin que j'avais mis au courant. En tout cas, depuis 2003, mes crises permanente de paludisme ont cessé définitivement, même malgré l'épuisement de mon stock de Lariam. Plusieurs fois en consultations, les médecins m'avaient mis en garde contre le paludisme en m'affirmant que cette maladie reste dans le foie jusqu'à la fin de notre existance et que les accès palustres se manifesteront à vie. C'était le cas avant ma prise de Lariam. Tous les jours je redoutais de nouveaux accès palustres qui me mettaient à plat, m'épuisaient à chaque fois.
Nous sommes en décembre 2016 et depuis fin 2003 je n'ai plus eu le moindre problème de palu. J'en ai fait l'expérience en plein vent, en plein courant d'air, dans ma voiture toutes vitres ouvertes et miracle, aucun accès palustre d'aucune sorte. Et depuis 2003, je ne prends plus ni Nivaquine, ni Lariam. Mon médecin traitant reste quand même dubutatif, mais il a dû reconnaître qu'il ne m'a pas prescrit d'anti paludéens depuis fort longtemps. Je pense sincèrement que c'est le Lariam, de mauvaise réputation, qui m'a guéri....
Voilà mon témoignage sincère et je tiens à dire que je n'ai reçu aucun subside ni pression de sociétés pharmaceutiques.
M. Joacquim
tournico@yahoo.fr | France | Pauline | J'ai pris ce médicament en 2001 j'étais une jeune adolescente. Quelques mois après la prise de Lariam, j'ai développé des T.O.C (troubles obsessionnels compulsifs) et des phobies. Phobie notamment des microbes et de la maladie. Je me lavais les mains un nombre incalculable de fois, j'étais incapable de parler aux gens de peur de tomber malade, incapable de toucher une poignée de porte, même incapable de me rendre au collège. Je vivais en permanence avec la boule au ventre et la peur de tomber malade. Même si je me rendais plus ou moins compte de l'absurdité de mon comportement je ne pouvais pas me contrôler.
Après rendez vous avec un psychiatre on a pu établir le lien avec le Lariam. Mes TOC et phobies ont disparu en quelques semaines après 3-4 mois de paranoïa.
Aujourd'hui encore je suis marquée par cet événement et je reste phobique de la maladie, sans pour autant que cela soit handicapant comme ça l'a été. | France | Muin | Rejoignez-nous, sur la page Méfloquine la vie après LARIAM
Vous pourrez lire les récits, dont le mien avec photos! Une déchéance car le Lariam à une vie active après l'arrêt, laissant de graves séquelles. Rejoignez nous ! | Canada | Jocelyne | J'ai pris ce médicament fin 2015.
Est-ce que je pu développer des symptômes quelques mois plus tard?
Depuis mai,j'ai des céphalées à tous les jours et des
étourdissements.Je n'ai pas le goût pour des acrivités.
Je me trouve apathique.
Es-ce normal.
Merci.
| France | Grégoire | Création d'une page Facebook " Lariam , la vie après méfloquine " suite à la création du groupe. Rejoignez nous !
| France | Gregoire | " méfloqine - la vie après LARIAM " groupe sur Facebook que je viens de créer.
Vous pouvez y mettre votre témoignage, il est très important de laisser un témoignage sur stop LARIAM qui reste une référence.
Le groupe Facebook a pour but d échanger plus facilement coordonnées, avis... | France | Lady | Bonjour à tous,
depuis des mois, je travaille/recherche sur ce poison qu'est le LARIAM. Ce forum est très bien, car il permet de ne pas se sentir isoler, mais sachant que je souhaite réparation du laboratoire, il serait souhaitable de faire connaître ce poison à la population, déjà pour éviter d'autres victimes, car il est encore prescrit et vendu en France, et montrer que nous sommes des "cobayes", croyez-moi. Pour ma part, j'étais une femme sportive, active (3 jobs en même temps), avec 3 enfants à charge avec un époux souvent absent... bref pas le temps de tomber malade. Pourtant, mon 1er voyage Cambodge/Vietnam, j'ai eu la malchance d'avoir un médecin qui m'a prescrit du LARIAM ! De suite, vomissements avec jets de 1m (et je ne vois pas l'intérêt d'exagérer, bien 1m), mon mari a dû rentrer en France pour depression, mais par obligation j'ai fait un total de 2 mois en Asie du Sud-Est.Depuis 2000, voici ce que je suis aujourd'hui en 2016 : HANDICAPÉE !!!!! Anorexie + Fibromyalgie. Je marche avec une canne,ceinture dorsale, bas de contension etc... et déshydratation continuelle, sans oublier diarrhées constantes (je passe ma vie aux toilettes...). Je n'ai plus de vie, et je pense à ma famille en premier !!!! J'aurais encore beaucoup à dire, je suis en relation avec Montpellier, mais je réglerai le problème de ce laboratoire avant de mourir. Si vous pensez que le Lariam , une fois pris s'en va avec le sang quelques temps plus tard, je suis la preuve que non... quant au "mal" effectué lors de la prise, a-t-on cherché un ANTI-POISON ? Si vous souhaitez m'aider à médiatiser "les batailles des labos", en nous prenant comme ras de labos justement, alors rejoignons-nous pour se battre ensemble ? Si vous êtes de mon avis n'hésitez pas à me joindre gjpj69@gmail.com | France | Grégoire | (4 ème témoignage de ma part) Bonjour, nous sommes le 20 juillet 2016, et j'ai eu la pharmacovigilance de Roche au téléphone, le standard puis un médecin qui ne comprenait pas le but de mon appel.
Pourtant le groupe Roche à bien reçu ma fiche d'effet indésirable au sujet du Lariam.
On m'a bien fait comprendre que mon appel dérangeait.
Curieuse réaction non ? Un médecin doit être aimable. Là je me suis fait " remonter les bretelles " pour rester correct.
En gros il faut comprendre " prends notre saleté de médicament en prévention et si tu as des effets secondaires , hé bien c'est pour ta pomme ".
Sauf que je ne vais pas en rester là . | France | Grégoire | Pour information, le laboratoire " Roche " France m'a envoyé un formulaire de recueil d'effet indésirable auprès du patient.
J'ai eu Roche 5 fois au téléphone ils me rappellent lundi 04 juillet ( 2016 ).
Je compte de toute façon monter un dossier.
Conservez bien votre carnet de santé et tous vos examens médicaux ( pour le système de santé français ) cela peut vous être demandé.
Je ne baisse pas les bras, la réplique ne fait que commencer. | France | Grégoire | Avril 2016
A mon tour de vous raconter mon histoire sur le LARIAM.
Tout a commencé en 1992 je suis alors âgé de 12 ans. Sur les conseils d'une amie travaillant à l'hôpital maritime de Cherbourg "on" décide de me donner le fameux médicament.
La nuit suivant la première prise, malaise et crise d'angoisse, perte de conscience sans perte de connaissance.
Ce médicament m'a été donné avant de partir au Kenya, donc en plusieurs prises.
Au bout de la 2 ème prise au Kenya, nuit de cauchemars, impression d'être le lendemain du jour. Angoisse, douleurs au ventre, nausées, vertiges, malaises.
Au retour en France les malaises continuent de temps en temps de 1993 à 1998 avec des pics d'intensité en 1995 et surtout 1998, année ou je suis hospitalisé 2 jours en observation, avec une perte de poids de 7 kilos dans la semaine. On peut parler d'angoisse intense. Je ne savais pas que l'angoisse pouvait être aussi puissante, c'est un niveau qu'il vaut mieux ne pas connaître.
A la suite de cet épisode je suis sous Rivotril, xanax et déroxat pendant quelques années...
50 scéances de psychiatrie, des dizaines de RDV chez le médecin, un RDV chez un ORL, chez un neurologue, chez un magnétiseur.
L'électro encéphalogramme est normal...
J'ai quand même l'impression de faire des crises épileptiformes, je deviens sensible au cinéma et aux jeux vidéo en 1 mois.
Notons au passage que le cerveau humain finit de se développer vers 22 ans.
Pour ma part il y a eu moins de malaises après.
Mais personne ne voit rien, pour le diagnostic il faudra attendre 2016 !!!
Je note que des crises reviennent en 2009 et 2011, avec 2 mois de xanax ça passe et du repos.
Difficile d'évaluer ce qui a détruit une partie de ma vie.
Je tiens à préciser qu'avant la prise de ce médicament j'étais en parfaite santé, sans trouble panique.
Le médicament ne reste pas dans le sang mais il fait des dégâts qui eux restent parfois à vie.
Une pharmacienne de ma région a fait une belle crise d'épiletie suite à la prise de lariam; quand je lui ai raconté mon récit elle n'a pas été surprise.
Les effets de ce POISON sont difficilement descriptible.
Pour mon cas j'ai eu :
Trouble de la vision
Cauchemars ( aux prises du Lariam )
RĂ©veils nocturnes.
Crise de paniques la nuit ( souvent vers 1h00 )
Perte de poids
Perte de moral, d'appétit, dépression, idées noires.
Trouble panique, perte de conscience, vertiges.
Sensibilité aux écrans ( jeux vidéo, cinéma...).
Malaises, chute, vertiges, myoclonies.
Bien décidé avec mes relations à faire avancer les choses avec quelques personnes bien placées.
je ne vais pas baisser les bras, je demande réparation !!!!!!
grego50@wanadoo.fr si vous avez des infos n'hésitez pas à me contacter.
Courage aux victimes de ce médicament destructeur de vies.
| << 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 >>
Réagissez vous aussi!
|