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Un témoignage parmi tant d'autres (extrait de : www.geocities.com/TheTropics/6913/lariam.htm ):
" Lesley Gidding had returned from Africa unaware of the reason for her mental and emotional problems. She was still battling deep depression and anxiety attacks: "I described it as my really dark place and I didn't know how to get out. I was just, life was way too bad. I was thinking life is too much, I'd really like, you know, I'm not saying that I had suicidal tendencies but I thought about it (Lesley Gidding)."

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FranceFlorenceJe voyage beaucoup e(et en 1991 j'ai pris du Lariam en prévention soit 1 cp 250mg 10 jours avant notre départ puis 1 cp par semaine :En tout j'en ai absorbé 4.Au bout de 2 semaines étant en Asie j'ai eu de grosses bouffées de chaleur et d'énormes frissons, sensation de fièvre+++,faisnat penser à un début de paludisme, malaise nausées vomissements,anxiété, troubles de l'humeur.J'ai de suite cesser le Lariam suspectant des effets secondaires et tout s'est amélioré très vite. Il persiste une irrégularité de l'humeur , parfois tendance dépressive depuis cette date-là très précisément.Je ne sais pas si cela est dû au Lariam mais je le suspecte fortement .Je n'ai jamais eu la moindre crise de paludisme,tout est normal du côté "maladies infectieuses et parasitaires".
FranceIsaAi pris LARIAM cet hiver (janvier 2017) pendant 6 semaines (voyage en AFdS). Irritabilité, questionnement existentiel et psychose ont constitué la parfaite petite panoplie de ma dépression et pic d'anxiété. Ai de suite arrêté le traitement après lecture de la liste à rallonge des effets secondaires. Aujourd'hui je vis un peu comme un zombie, entre rêve et réalité... pas cool ! Je plains de tout mon coeur les pauvres soldats et humanitaires qui ont à subir des crises bien plus violentes que les miennes. Il se sacrifient pour le bien commun et voilà ce qu'ils récoltent ! Bon courage à tous, vous qui souffrez.
FranceGrégoireTapez : "Mefloquine - la vie après LARIAM" sur Facebook et surtout contacter l'AAA VAM à Paris. Mon mail : grego50@wanadoo.fr Aidons nous entre victimes si c'est bien le cas pour votre fille. Quelques traitements médicamenteux courants marchent. Nous avons surtout des séquelles. Trouver un bon psychiatre compétent, vous pouvez essayer l'EMDR et l'Hypnose et acuponcture.
FranceKatySvp Grégoire pourriez vous mettre un lien pour Facebook, je ne vous trouve pas
FranceKatyQui a eu un enfant sous lariam svp? C'est mon cas , ma fille a 20 ans aujourd'hui et a des envies de mort depuis qu'elle a 5 ans, fait des crises d'hysteries en permanence... aucune attention, mauvais sommeil. Dites moi vos expériences svp
Tanzania, United Republic OfPierreBonjour, En 2016 je pars au Tanzanie je prends le médicament et de suite je me sentais très étrange et ma tête penche à droite comme si elle est lourde. J'ai eu de plus en plus de désir de violence par accès qui dure des heures.. je ne comprenais pas. cela augmente de mois en mois au point de vouloir la mort de certaines personnes, et je me reconnais plus. Je lis les forums depuis quelques semaines et je sens mon désir de meurtre envers le labo grandir. Je suis militaire et j'ai peur de commettre l'irréparable, car je me monte me scénarios pour me venger du profond mal être que je vis. J'ai mis volontairement un faux nom. Je développe une haine incommensurable pour ce labo. Je suis sous anxiolytique pour dormir mais rien n'y fait, cela tourne à l'obsession au point de repérer les lieux du siège à Bâle et celui de France. Je deviens fou et je fais une fixette.
FranceANAEn 2005, je suis partie en voyage humanitaire au Sénégal. On m a prescrit le LARIAM. Aux premières prises, j'ai ressenti beaucoup d'agitation. Je pensais que cela était dû à l'excitation du départ. C est au retour que le cauchemar a vraiment commencé. Dans mon appartement à Bordeaux, j'avais perdu mes repères. La première nuit là bas , j'ai eu de fortes chaleurs. Je pensais avoir le paludisme. Je suis partie paniquée aux urgences mais je n'avais rien.Je me souviens avoir vécu des cauchemars horribles. L'impression de devenir folle, la peur de devenir folle. Juste l'horreur. Ne pouvant rester seule, je suis partie chez mes parents. Là bas , suite à une soirée arrosée, j'ai eu comme une décharge électrique dans le cerveau, une sensation de chaleur. Je me suis regardée dans le miroir et je ne me reconnaissais plus. Tout me semblait étranger, comme si j'étais sur une autre planète. Le docteur a été obligé de m'administrer un calmant. La suite a été très difficile. Un combat intérieur permanent. Cela fait maintenant 12 ans que j'ai vécu ce cauchemar mais ma vie et mon cerveau ne sont jamais redevenus comme avant. J'ai entamé une thérapie EMDR ( mouvement des yeux qui aide à digérer les traumatismes) qui ne m'a pas guéri mais qui m'a aidé à en parler sans avoir peur que ce cauchemar revienne. Mais au jour d'aujourd'hui, ma vie est toujours compliquée. Je vis comme des remontées de cette molécule; je ne sais comment nommer ces symptômes. Je ne peux plus vraiment voyager sans avoir ces problèmes et aller à l'étranger relève presque d'un exploit que j'ai relevé avec un courage inouï. Je tiens à préciser qu'il ne s'agit pas de phobie. Grâce à ma rencontre avec Grégoire qui a créé la page facebook " Méfloquine, ma vie après le Lariam" , j'ai contacté l'AA-VAAM. Il y a une assemblée générale le 10 mars avec des médecins et avocats pour faire avancer les choses et que cette molécule ne soit plus commercialisée. N'hésitez pas à venir vous exprimer.
FranceLORENZOje voyage souvent thailande afrique magreb ........je prends du lariam et je n ai jamais eu d effets secondaires je trouve bizarre les commentaires que j ai lu sur ce site
FranceRienJ'ai fait un voyage en 2012 au Sénégal en Afrique pour une periode de 2 semaines. Ayant déjà voyagé un peu en Europe dans des conditions précaires, je me suis dit sur ma consultation pour les antipalu, je pouvais prétendre à prendre le moins cher, banco LARIAM. Résultat, je me suis senti pas moi même, venant pour faire de l'humanitaire dans le pays... Grande fatigue, irritable au possible, vraiment pas dans mon élément. Pitié, qu'on bannisse au plus vite cette molécule qu'on en finisse. J'ai fait d'autres voyages avec la SAVARINE qui sont un peu plus chers mais qui n'ont pas d'effets aussi cauchemardesques...
FranceIsabelleLariam pris en avril 2016. Dès le début du traitement, problèmes de sommeil : cauchemars violents, sanglants et très traumatisants, une grande mémoire des cauchemars vécus, et de nombreux réveils tout au long de la nuit avec difficulté à me rendormir. Ces problèmes ont duré environ de 4 à 5 mois : ils se sont estompés petit à petit. Cette période a été très éprouvante car très grosse fatigue physique et mentale. De plus, entre un et deux mois environ après l'arrêt, j'ai ressenti deux crises très déstabilisantes : pendant une demie-journée environ, j'ai eu des pensées qui ne me correspondaient pas, comme si c'était quelqu'un d'autre que moi qui pensait et réagissait différemment de moi. Je passais certes un moment difficile dans ma vie, donc un mal-être était sous-jacent, mais je pense que le Lariam a été le déclencheur des symptômes que j'ai eus, et qu'il les a maintenus aussi longtemps.
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